Laurianne Venet, quand être au service des jeunes est une évidence !

Comment as-tu découvert Awayke ?

Laurianne Venet : Je rencontre Tristan Roche et Raphaël Fransès lors d’un atelier auquel j’ai participé en octobre 2018. J’ai tout de suite adhéré aux méthodes, à la posture et aux contenus des ateliers. Je leur ai ensuite proposé mon aide pour continuer avec Awayke en tant que facilitatrice.

Qu’est ce qui te plait et t’inspire dans l’entreprise qu’est Awayke ?

LV : J‘ai rejoint l’aventure car j’aime l’esprit dynamique de la start-up, le message qu’elle transmet ! J’ai aussi réalisé mon parcours dans le domaine de l’éducation et du social donc je me reconnais dans l’envie d’être au cœur de la problématique de l’orientation des jeunes et dans mon chemin de vie, j’ai envie d’apporter ma pierre à l’édifice ! J’attends d’Awayke qu’ils m’accompagnent dans mon chemin pour que mon épanouissement personnel passe par mon épanouissement professionnel à travers celui des autres et je ressens qu’Awayke rassemble ces 3 points. 

Si tu devais compléter cette phrase : « Pour toi un awayker c’est d’abord .. mais aussi…. ? « 

LV : Pour moi être Awayker c’est d’abord une porte qui nous offre une meilleure visibilité sur qui nous sommes quand on l’ouvre mais c’est aussi avoir un grand cœur qui considère chacun dans son entièreté avec son unicité.

LV : Ayant vécu le processus Awayke, l’influence est très puissante parce qu’aujourd’hui je suis convaincue que ce que nous apportons aux jeunes est d’une réelle aide ! C’est du concret, c’est palpable, et ce sont les premières graines de connaissance de soi afin d’apprendre à mieux se connaître afin d’être épanouie et aligné avec ses valeurs tout au long de sa vie. Pour moi, il est essentiel d’éveiller les consciences sur le fait que chaque être est unique et singulier. Nous sommes tous différents, et surtout, si demain, nous échouons, nous nous réorientons ! Si nous tombons, tout cela n’est pas grave, c’est juste la vie qui nous montre notre chemin, nous fait avancer, nous rend plus forts et qui fait que nous sommes ce que nous sommes.

Une anecdote d’animation ?

LV :  Sans aucune hésitation les tours de parole (cercle de clôture) à la fin de l’atelier dans lequel les jeunes prennent conscience qu’ils ne sont pas « là où ils devraient être » et que « maintenant je sais ce que je veux faire ».

Adolescent, jeune adulte, qu’est ce que tu aurais pensé d’un atelier Awayke ?

LV : J‘ai rencontré Awayke lors d’une formation en tant que jeune adulte donc j’ai une bonne idée de ce que j’ai pensé à cet instant. Et j’ai pris conscience que dans certains domaines de ma vie je n’étais pas à ma place. Alors ni une ni deux, j’ai pris les choses en mains pour y remédier, pour devenir alignée et être épanouie dans ma vie professionnelle et personnelle.